La transmission du höömij, un art du timbre vocal : ethnomusicologie et histoire du chant diphonique mongol.

Cette thèse est une étude ethnomusicologique à dimension historique portant sur la transmission globale du höömij en Mongolie. Pour expliquer l’évolution de cette technique vocale, sont explorés les légendes, les conceptions autochtones, l’histoire des années 1950 au début des années 2010 et la mise...

Cur síos iomlán

Sonraí bibleagrafaíochta
Príomhchruthaitheoir: Curtet, Johanni
Formáid: Travail de recherche universitaire
Teanga:Français
Thèse/mémoire:Th. Doct. -- Ethnomusicologie -- Rennes -- 2013 -- Université Rennes 2.
Ábhair:
LEADER 02918nam a22003857a 4500
001 lesc-41835
040 |c LESC 
041 |a fre 
043 |a FRA 
050 |b L19832  |a Th7 2013 CUR 
100 |a Curtet, Johanni. 
245 |a La transmission du höömij, un art du timbre vocal :   |b ethnomusicologie et histoire du chant diphonique mongol. 
300 |a 613 p. :  |b tabl., cartes, photogr., partitions musicales  |e + 1 CD - CNRHMH_I_2014_048 
500 |a CD correspondant en réserve  
500 |a Ancienne cote CREM MS 374 / CREM-2162 
502 |a Th. Doct. -- Ethnomusicologie -- Rennes -- 2013 -- Université Rennes 2. 
504 |a Bibliogr. 
520 |a Cette thèse est une étude ethnomusicologique à dimension historique portant sur la transmission globale du höömij en Mongolie. Pour expliquer l’évolution de cette technique vocale, sont explorés les légendes, les conceptions autochtones, l’histoire des années 1950 au début des années 2010 et la mise en patrimoine pour l’avenir.La première partie montre comment le chant diphonique prend forme dans sa culture. Perçu comme un art du timbre par ses détenteurs, il entretient des relations avec la nature, ainsi qu’un ensemble de techniques vocales et instrumentales issues des contextes rituel et pastoral. Ces fondements du höömij sont ensuite examinés à la lumière de l’histoire de la Mongolie. Entre les périodes soviétique etcontemporaine, la deuxième partie brosse les changements survenus dans la pratique, entre la scène et l’enregistrement. À côté de l’usage rural, se développe une nouvelle forme professionnelle. Tous ces apports ont façonné le chant diphonique mongol dans son état actuel. La troisième partie étudie la transmission à travers l’enseignement et la patrimonialisation. Les maîtres évoluent entre deux pôles : un village de l’Altaï perçu comme le lieu des origines, et une université d’Ulaanbaatar, qui académise la pratique et diffuse son modèle au niveau national. Tout cela participe au processus de patrimonialisation du höömij, desa constitution en emblème musical sous la période soviétique à son inscription sur la liste du Patrimoine Culturel Immatériel de l’Unesco. Le höömij mongol apparaît dans toute sa contemporanéité -- Présentation de l'auteur. 
591 |a 0037 
690 |a Ethnomusicologie 
691 |a Asie orientale 
691 |a Mongolie 
692 |a Mongol 
695 |a Chant Khöömei mongol 
695 |a Chant diphonique 
695 |a Timbre musical 
695 |a Technique vocale 
695 |a Patrimoine culturel 
695 |a Enseignement musical 
695 |a Transmission 
695 |a UNESCO 
695 |a Enregistrement sonore 
942 |2 ddc  |c TRU 
952 |0 41835  |1 46548  |a Éric-de-Dampierre  |b L19832  |c Th7 2013 CUR  |d Fonds général 
999 |a Éric-de-Dampierre  |b Travail de recherche universitaire